Première BIOGRAPHIE de Saint EXUPERY (1949) signée Pierre CHEVRIER : la note à payer

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TOUT LE MONDE SAVAIT, MAIS SON CHARISME ÉTAIT TEL !

TOUT LE MONDE LAISSA ANTOINE FAIRE CE QU’IL VOULAIT.

René GAVOILLE, Jean LELEU, Raymond DURIEZ,… les plus fidèles parmi les fidèles du 2/33 le regretteront en silence toute leur vie.

Le 31/07/1944 ANTOINE EN PAYA DRAMATIQUEMENT LA NOTE

Nelly De VOGUE / Hélène Jaunez, pseudo Pierre CHEVRIER, confie quelques secrets sur Antoine de Saint-EXUPERY dans son livre de 1949. Ces quelques pages jaunies valent mieux qu’un long discours.



1943 : De LA MOLE à ALGER

– Antoine survola bien AGAY le 21 juin 43 + le 18 juillet 44, puis le château de Saint-Maurice de REMENS le 18 (et le 11 ?) juillet 1944 alors que la demeure venait d’être détruite par les Allemands (page 259).

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Saint-Ex, mission du 18 juillet 1944 : 31 000 pieds au-dessus de Saint-Maurice de REMENS

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Antoine De Saint-EXUPERY : 18 juillet 1944, altitude 31000 pieds, Une de ses dernières petites escapades avec photo au dessus de Saint-Maurice de REMENS.
 
Lors de sa mission de reconnaissance du 18 juillet 1944 à très haute altitude = 31000 pieds (9449 mètres exactement), Antoine De Saint EXUPERY s’autorisa un petit extra au dessus de la région d’AMBERIEU : survoler le château de Saint-Maurice de REMENS.

Un rare et (ô combien !) précieux cliché militaire « confidentiel » fut alors pris par la caméra de son Lightning d’observation : trace émouvante de la dernière mission réussie d’Antoine (avec retour), j’ai juxtaposé l’actuelle carte google maps à côté du précieux cliché original.

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La plus belle lettre d’amour d’Antoine de Saint-Exupéry à Sylvia

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UN VERITABLE COMPRIME D’AMOUR D’ANTOINE DE SAINT-EXUPERY à SYLVIA HAMILTON REINHARDT

Pour tenir son combat contre la guerre et contre son avion, Antoine utilisait fréquemment des comprimés de BENZEDRINE (voir plus loin, un de mes articles qui évoque de manière détaillée le dramatique recours de St-Ex à cette pernicieuse drogue de combat).

Pour tenir son tendre combat d’écrivain partageant difficilement sa vie intime avec plusieurs femmes, Antoine avait ses lettres, ses comprimés secrets d’amour tendre. De sa vie intime avec Sylvia Hamilton-Reinhardt naquit LE PETIT PRINCE, c’est elle qui fit naître le PETIT PRINCE, qui le vit naître… bien que l’accouchement ne fût pas très facile.
Nota en marge : Une thèse a été soutenue le 19 novembre 2011 par Colette BRANCHU à l’université de Montpellier 3 : ARCHEO-ANALYSE DE L’OEUVRE : LE PETIT PRINCE : L’écriture d’un secret ou la trace secrète d’une écriture hiéroglyphique L’authenticité du manuscrit de Sylvia Hamilton Reinhardt y est notamment évoqué (page 53 et 54 de la thèse)
Sinon…
 
Une des lettres envoyées par Antoine à Sylvia Hamilton-Reinhardt restera un exemplaire magnifique de ce qui pouvait bien se passer, se croiser, assez souvent, dans la tête de Saint-Exupéry.
New York, courrier signé et daté du 7 octobre 1942 provenant de la vente à Paris, le 20 mai 1976, n° 53 et resté depuis dans la même collection : 
Petite Sylvia cette lettre n’est ni une scène ridicule ni un mouvement d’amertume à ton égard. Je n’en ai ni le droit ni le désir. Je pense sur toi beaucoup plus de bien que tu ne crois. Tu es pleine de dons et de grâce. Tu as une immense gentillesse de cœur. Tu ne te conduis pas en idole à encenser (je hais ce genre de femmes) mais en être humain. Tu sais prendre des plaisirs légers. Tu sais raconter de vraies grandes histoires comme celle du pauvre diable qui a si royalement payé ta dette de cinq cents au restaurant. Que tu saches raconter n’est rien. L’important est que tu saches les distinguer, les vraies grandes histoires. Tu disposes de tous les moyens de séduction et sans doute tu sais en user parfaitement. Mais cela, à moi, n’importe guère. […]

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